Plus de dix jours après les remous enregistrés au sein du Régiment de sécurité présidentielle (RSP), l’ancien chef d’état-major particulier de la Présidence du Faso, Gilbert Diendéré, lors d’une interview accordée à la radio nationale, a apporté des explications sur les raisons qui ont conduit à ce saute d’humeur. Pour lui, il s’agissait pour les « hommes de marquer leur opposition aux manquements constatés dans la nomination des nouveaux chefs de ce corps de l’armée». Poursuivant son propos, le général Gilbert Diendéré ajoute que le fonctionnement des corps de l’armée est régi par des règles que l’on ne saurait occulter. Pour ce faire, celui qui a été pendant plus de deux décennies l’ombre de Blaise Compaoré, estime qu’à travers les dernières nominations qui viennent corriger les manquements dénoncés par les éléments du régiment, le problème est désormais résolu, car cela est conforme à la logique de fonctionnement des branches de l’armée. Tout en rassurant l’opinion que l’action de ses anciens éléments n’avait aucune intention d’installer le désordre, il conclut en ces termes : «Dans l’armée, les hommes ne choisissent pas leur chef et les chefs ne choisissent pas leurs hommes».Grogne au RSP : Gilbert Diendéré explique
Plus de dix jours après les remous enregistrés au sein du Régiment de sécurité présidentielle (RSP), l’ancien chef d’état-major particulier de la Présidence du Faso, Gilbert Diendéré, lors d’une interview accordée à la radio nationale, a apporté des explications sur les raisons qui ont conduit à ce saute d’humeur. Pour lui, il s’agissait pour les « hommes de marquer leur opposition aux manquements constatés dans la nomination des nouveaux chefs de ce corps de l’armée». Poursuivant son propos, le général Gilbert Diendéré ajoute que le fonctionnement des corps de l’armée est régi par des règles que l’on ne saurait occulter. Pour ce faire, celui qui a été pendant plus de deux décennies l’ombre de Blaise Compaoré, estime qu’à travers les dernières nominations qui viennent corriger les manquements dénoncés par les éléments du régiment, le problème est désormais résolu, car cela est conforme à la logique de fonctionnement des branches de l’armée. Tout en rassurant l’opinion que l’action de ses anciens éléments n’avait aucune intention d’installer le désordre, il conclut en ces termes : «Dans l’armée, les hommes ne choisissent pas leur chef et les chefs ne choisissent pas leurs hommes».A découvrir aussi
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