SAKISIDA

Fierté de décorés

Djibrill Bassolé, ministre des Affaires étrangères et de la Coopération régionale, grand officier de l’Ordre national : « Je voudrais exprimer ma reconnaissance au président du Faso et à l’ensemble des Burkinabè, car la distinction dans l’Ordre national est faite en leur nom. Je m’efforcerai de faire en sorte que tous les Burkinabè soient fiers de la distinction qui m’a été faite ».

 

 

- Jérôme Bougouma, ministre en charge de l’Administration territoriale, commandeur de l’Ordre national :

« Je suis animé par des sentiments de reconnaissance et de gratitude à l’endroit du président du Faso et du Premier ministre. Je voudrais partager ma joie avec l’ensemble de mes collaborateurs, parce que ce sont des équipes qui font le travail. Je voudrais les remercier pour leur soutien et leur accompagnement ».

- Soungalo Ouattara, ministre en charge de la Fonction publique, commandeur de l’Ordre national :

« Je voudrais exprimer ma gratitude à l’endroit du président du Faso qui a bien voulu jeter un regard dans les efforts qui ont été faits dans le cadre du service public. Je voudrais également exprimer ma reconnaissance à tous les jeunes qui travaillent avec esprit d’abnégation et de sacrifice pour un service public de qualité. Une décoration n’est pas le fruit d’un héros solitaire, il est toujours le fruit d’un travail collectif qui est l’expression de l’engagement des jeunes fonctionnaires qui ont compris que leur contribution peut permettre à notre pays d’avancer ».

- Mme Soungolo Sanfo/ Koné, retraitée, commandeur de l’Ordre national :

« Je suis habitée d’un sentiment de grande fierté parce que lorsqu’on a servi son pays et qu’on reconnait les efforts que vous avez faits en vous décernant une décoration. On ne peut qu’être satisfait. Je suis satisfaite de ce que j’ai fait pour mon pays parce qu’être commandeur de l’Ordre national, c’est le haut niveau ».

- Edouard Ouédraogo, directeur de publication de l’Observateur Paalga, officier de l’Ordre national :

« Je me demande s’il n’y a pas d’autres personnes qui sont aussi méritantes que moi, mais qui ne sont pas encore décorées ou qui ne le seront jamais. J’ai seulement 42 ans de métier dans la presse, mais il y a en qui sont plus vieux que moi dans le métier. Il y en a qui sont plus jeunes que moi, mais qui sont tous aussi méritants. Je pense à tous ces gens. A chaque fois qu’on est distingué, on ne peut pas ne pas se poser des questions ».

- Aminata Ouédraogo née Bakayoko, conseiller technique du ministre de la Communication, officier de l’Ordre national :

« J’éprouve des sentiments de fierté. Lorsqu’on vous promeut à cette distinction, c’est une invite à mieux faire, à ne pas baisser les bras. Je pense à mes responsables, notamment au ministre de la Communication qui m’a proposée à cette distinction. Je tâcherai de faire en sorte qu’il ne soit pas déçu. Je ferai mieux que ce que j’avais l’habitude de faire ».

- Georges Yaméogo, inspecteur des eaux et forêts, chevalier de l’Ordre national :

« C’est un réel plaisir de recevoir cette décoration. Ce qui me donne l’occasion de remercier l’ensemble des responsables, notamment le ministre de l’Environnement et du Développement durable ainsi que mes collègues qui m’ont soutenu sdans le cadre de mes activités ».

- Pasteur Olivier Kabré, chevalier de l’Ordre national :

« C’est comme le dit un proverbe mossi : « Brin de paille inattendue perce l’œil ». Cela, pour dire que c’est la chose à laquelle je m’attendais le moins qui m’est arrivée. J’éprouve des sentiments de joie à l’idée que l’Etat a pensé à moi. C’est le signe que j’ai apporté ma pierre à la construction du Burkina Faso. Cela fait 54 ans que je suis au service de l’éducation nationale ».

Propos recueillis et retranscrits par

Anselme KAMBIRE, Nestor BAKI et Adama BAYALA

Sidwaya

 

 



11/12/2012
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