SAKISIDA

Djeliba déplore une pratique prisée dans certains maquis du quartier zone 1 dans l’arrondissement 10 de Ouaga. Djeliba a été plusieurs fois témoins de certaines scènes peu dignes. En effet, c’est avec la complicité de certains gérants ou les propriétaires des maquis que des jeunes filles mères abandonnent leurs enfants de moins de deux à trois ans dans les maquis et partent se prostituer avec certains clients. Cette pratique est si généralisée que djeliba estime que la police devrait procéder à des contrôles à certaines heures dans ces lieux de débit de boisson  pour situer  les responsabilités.

Djeliba l’incognito

Le Quotidien