« Un mandat d’arrêt international obéit à une procédure. D’abord on saisit le ministère des Affaires étrangères, qui ensuite saisit le ministère de la Justice pour faire exécuter ce mandat. Or, le mandat dont on parle n’existe que sur les réseaux sociaux et des médias. Il n’a jamais été signifié à l’Etat de Côte d’Ivoire », a déclaré M. Touré, joint au téléphone par l’AIP.
« Il y a eu ni saisine ni information de l’Etat (de Côte d’Ivoire) », a insisté Touré Moussa.
Ce supposé mandat, selon des médias internationaux, est relatif aux enquêtes sur le coup d’Etat manqué survenu au Burkina le 17 septembre dernier.
Agence Ivoirienne de presse (AIP)